La sobriété numérique. Voici un sujet de fond qui nous interroge depuis longtemps dans le cadre de notre politique de Responsabilité Sociale et Environnementale : l’impact environnemental du numérique, invisible mais bien présent. En tant que bureau d’études du secteur de l’ingénierie touristique, nous sommes particulièrement concernés par les pratiques numériques : utilisation d’équipements (ordinateurs portables, tablettes, smartphones…), manipulation de nombreuses données informatiques, recours à l’email, au serveur en ligne…
Si nous travaillons ces sujets depuis longtemps, nous investissons depuis quelques mois plus d’énergie pour réduire les impacts et repenser certains fonctionnements. Nos réflexions et actions portent sur :
- Faire durer nos équipements (entretien) et choisir les voies les plus alternatives (ex. réparation, location, reconditionnement)
- Alléger le poids de nos données (ex. pratique d’archivage, allègement des fichiers)
- Intégrer de nouvelles pratiques au quotidien (ex. limiter les mails et leur poids, supprimer l’image de notre signature, naviguer autrement sur le web)
- Repenser notre site Web et notre stratégie digitale plus globalement (nouveau site Web à venir)
Pour en apprendre plus au sujet de la sobriété numérique, nous vous conseillons quelques lectures :
- Une publication de l’Ademe « LA FACE CACHÉE DU NUMÉRIQUE » – Novembre 2019
- La synthèse de l’étude menée par GreenIT en 2019 « Empreinte environnementale du numérique mondial »
- L’extension Web ou l’application « Mobile Carbonalyser » développées par The Shift Project et Orange Labs pour visualiser la consommation électrique et les émissions de gaz à effet de serre liées à la navigation sur le Web : theshiftproject.org – « carbonalyser »
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